Exerçant en détention, des psychologues s’interrogent sur les prises en charge de patients agresseurs sexuels, dont certains présentent un niveau intellectuel très bas, ne permettant qu’une faible compréhension de leurs actes, et plus globalement de la sexualité et des interdits. Afin d’éviter l’abandon de ces patients, et l’usure des soignants, des psychothérapeutes mettent en place un groupe de parole, en recherchant des outils qui tiennent compte de ce déficit intellectuel et dans les habiletés sociales.
Pour poursuivre votre lecture
Connectez-vous à votre compte si vous êtes déjà client.