Recherche en psychiatrie sociale, pour améliorer la qualité de vie

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Les personnes atteintes de maladies mentales graves comme la schizophrénie subissent de nombreuses injustices. Parmi celles-ci on retrouve des taux de chômage élevés, d’une espérance de vie réduite, des logements précaires et de l'exclusion sociale. Le Groupe d’intérêt et de recherche pour la psychiatrie sociale considère ces inégalités comme une violation des droits de l'homme, et toutes nos activités reposent sur une approche de justice sociale. 

C’est pourquoi nous consacrons nos efforts à la recherche, à l'action et à l'application des connaissances qui peuvent réduire ces inégalités et améliorer les conditions de vie des personnes atteintes de maladies mentales graves. Dans l'atteinte de ces objectifs, la majorité de notre travail est focalisée sur deux concepts interreliés : le rétablissement et la stigmatisation. Ainsi, notre mission générale consiste à mener des recherches et à agir pour favoriser le rétablissement et diminuer la stigmatisation des personnes atteintes de maladies mentales graves (…)

Lire la suite sur le site de l'Institut universitaire de santé mentale Douglas (Québec)